Auteur/autrice : Guillaume

  • Derniers jours avant les îles sous le vent

    De retour à Punaauia après notre semaine à Tahiti Iti, nos sommes rejoint par Luc et Odile, qui vont passer le retste du séjour avec nous. On part bientôt pour les îles sous les vent, mais avant cela, Maël s’essaie à la plongée sous-marine ! Il a d’ailleurs de la chance, car il croise une tortue juste avant de remonter sur le bateau.

    Le lendemain, nos partons en catamaran pour l’atoll de Tetiaroa, à 40 km au nord de Tahiti.

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    Tetiaroa est l’un des quelqes atolls de l’archipel de la société. Dans l’histoire géologiques des îles polynésiennes, se forment d’abord des îles volcaniques lorsque la plaque océanique passe au dessus d’un point chaud. Puis la plaque se déplace, l’île s’éloigne du point chaud, le volcan s’éteint : on a lors une île haute (comme Tahiti). Le temp et l’érosion font leur oeuvre, l’île s’affaisent petit à petit, ce qui crée un récif tout autour de l’île (et de magnifiques paysages!). Puis lorsque l’île est complètement affaissé, il ne reste que cet barrière : on a alors un atoll. En Polynésie française, l’archipel des Tuamotu est par exemple principalement constitué d’atolls, tandis que celui de la société (qui inclue Tahiti), est principalement constitué d’îles hautes.

    De notre côté, nous sommes donc partis en catamaran vers Tetiaroa. Environ 4h30 de navigation sur une mer calme, un beau soleil, et les oiseaux qui nos tournent autour. Notamment des fous, ces grands oiseaux qui vont pêcher en haute mer et que l’on retrouve parfois à 100 km des îles. L’un d’eux a d’ailleurs fini le trajet avec nos, perché sur le bateau.

    Une fois sur place, on en prend plein les yeux : de longues plages de sables blancs qui bordent un lagon bleu azur, des cocotiers, des arbres fruitiers. On marche littéralement dans la carte postale. L’atoll est très préservé car il est privé, et son accès est restreint. Pour la petite histoire, il appartenait historiquement aux rois de Tahiti, et le dernier d’entre eux l’aurait vendu à son dentiste pour l’avoir guéri d’un mal de dent sévère. La famille du dentiste a ensuite exploité la coco de l’île pendant quelques année, puis a accordé un bail d’un siècle à Marlon Brando, qui l’aimait beaucoup. Sur une des îles, il a fait construire de hôtel de luxe (luxe luxe), et le reste des îles de l’atoll est globalement sauvage, notamment l’île aux oiseaux, un espace préservé où nichent une dizaine d’espèce. Nous en avons fait le tour à pied en marchant dans l’eau, les oiseaux nos ont accompagnés pendant toute la ballade, c’était magique !

    Nous avons ensuite pu profiter d’un repas sur le bateau, avant de partir en snorkeling le long du récif. On a pu voir des poissons, des requins, et même une tortue. Puis retour à Tahiti, après une belle journée.

    Pour notre dernier jour avant les îles sous le vent, on profite du beau temps pour se baigner et pour visiter le musée de la perle de Papeete. Le musée donne des indications sur la manière dont les perles sont fabriquées, mais on en découvrira plus en visitant les fermes perlières. Il présente également de belles collections de perles, et une histoire de la perle noire de Polynésie.

    Le soir on teste le restaurant Akua, recommandé par Samuel et Elsa. Ce restaurant est sur un bateau amarré en face de la marina Taina, en bas de chez eux : on le voit depuis leur balcon. C’est un endroit très sympa, accessible uniquement par Zodiac, qui offre un très belle vue sur Tahiti depuis l’eau, en particulier au soleil couchant. Et pour ne rien gâter, il est au milieu de plusieurs patates de corail, ce qui permet de s’ouvrir l’appétit en allant explorer les fonds marins. On en a bien profité, on est désormais paré à partir dans les îles !

  • La vallée de la Fautaua et la presqu’île de Tahiti

    Notre troisième semaine (déjà !) commence avec une excursion dans la vallée de la Fautaua. Cette vallée se situe entre les communes de Papeete et Pirae, et tire son nom de la rivière qui la parcourt.

    Petite particularité, cette vallée est la source d’approvisionnement en eau de Papeete, et de manière générale de Tahiti (30% de l’eau de l’île vient de la vallée). On voit le long de la ballade des reservoirs d’eau douce, et de gros forages qui partent dans la montagne pour récupérer l’eau.
    Nous voilà donc partis à 4 (Chloé, Guillaume, Maël et César) pour 5h de randonnée. Ća commence doucement avec 1h de plat le long de la rivière, sur un chemin bordé d’arbres en tout genre : cocotiers, bananiers, U’ru, pandanus, on retrouve les arbres qu’on voit un peu partout sur l’îe depuis notre arrivée. Après une heure, on traverse la rivière, et c’est parti pour une bonne heure de montée dans la jungle, pour arriver au fort de la Fautaua, en haut de la cascade.
    Pour la petite histoire, au milieu du 19ème siècle, une partie des tahitiens s’est soulevé contre les français qui venait de déclarer le protectorat sur l’île. Après plusieurs affrontement, les derniers résistant tahitiens se sont réfugiés dans le fort, qui avait été construit quelques années plus tôt, et ils ont tenus 6 mois face aux forces françaises. Ils sont finalement délogés par un petit bataillon mené par un chasseur local, qui passe par un chemin méconnu et très difficile d’accès. La résistance est donc matée, et le statut de Tahiti comme protectorat français est confirmé (environ 15 avant la Savoie !).
    Retour au présent, depuis le fort, il faut descendre par un chemin…pas très praticable (avec corde et échelle), pour accéder aux vasques qui alimentent la cascade. L’eau est froide, mais ça fait du bien après la marche ! On peut sauter dans l’eau et utiliser les tobbogans naturel pour passer d’une vasque à l‘autre. Il faut juste éviter le bout de la dernière vasque, qui atterrit…135m plus bas. Puis c’est pique nique et retour à Papeete, par le même chemin, mais en descente cette fois. Une belle ballade, on recommande !

    Le lendemain, on déménage pour partir dans notre logement à la prequ’île de Tahiti (Tahiti Nui). On est hébergé dans une maison très sympa, au milieu d’un graaaaand jardin dans lequel vivent notamment des poules, des oies, des cochons d’Inde, des paons, un lapin et un chat ! On aura le plaisir de nourrir ce petit monde toute la semaine, et ils viendront nos rendre visite régulièrement.


    Depuis le logement, on part d’abord visiter le belvédère de Taravao, qui nous offre une superbe vue sur la presqu’île et l’isthme qui la separe de Tahiti Nui. Ensuite, direction les jardins d’eau de Vaipahi, le jardin botanique libre d’accès du sud de Tahiti. On y trouve pleins d’espèces locale avec quelques explications, et le recit de la myhtologie tahitienne liée au lieu : la cascade de Vaipahi marque selon la légende le debut du cheminement de l’âme des morts (enfin les morts importants). Cheminement qui amenera l’âme à affronter plusieurs épreuves et purification, avant de s’envoler depuis un autre site de l’île.

    Pas d’envol pour nous, mais une petite randonnée le long de la rivière qui alimente la cascade, ce qui nous fait du bien après la chaleur meridionale. La randonnée nous amène à traverser plusieurs fois le cours d’eau, parfois à l’aide de cordes, ce qui a bien amusé Maël!

    Le lendemain, c’est sortie baleine, on en a parlé ici : Faune et flore aquatiques (avec les fameuses baleines !)

    Notre jeudi est plus calme : on commence par aller voir la plage de Tautira, touuuuuut au bout de la route, une des plus belles plages de Tahiti d’après nous (mais on a pas tout vu !). Puis on se ballade dans la presqu’île pour visiter les commerces locaux : on a trouvé une entreprise qui fait des fruits séchés et des chips a partir des fruits locaux, un régal. Et on termine notre journée dans une roulotte (la friterie locale : cest bon, c’est calorique, et il y a trop a manger dans une portion).

    Pour notre dernierjour sur la presqu’île, on embarque pour une excursion a la découverte du pays sauvage, la zone apres la fin de la route. Embarquement à la marina de Pakaiu, au sud de la presqu’île, avec un groupe d’une dizaine de personnes. On commence par un peu de snorkeling sur une grosse patate de corail,avant de se diriger vers la vague de Tehaupo’o, où ont eu lieu les épreuves de surf olympiques en 2024. Lors de notre passage, c’était une petite vague, a peine 3 metres de haut, mais on a quand même eu le chance de voir un surfeur de passage tenter sa chance et reussir a prendre la vague!

    On continue notre excursion en longeant la côte jusqu’à dépasser la route carrossable : à partir de ce point, seuls les 4×4 peuvent passer. Et ensuite, la côte n’est plus accessible que par bateau, comme le nôtre. Isolement et tranquillité garantis pour les résidents du coin, ou les vacanciers des quelques pensions. Puis on dépasse les dernières pensions, et il n’y a plus que la jungle et quelques plages. On longe la côte encore quelques minutes, puis on s’arrête pour une petite randonnée le long du littoral, qui se termine à une cascade. L’eau est douce, un peu fraiche mais ça fait du bien après le marche, et on peut se faire masser par l’eau qui descend avec fracas ! Au retour, on peut observer les petites chevrettes (les crevettes d’eau douce), les crabes et même un crabe de cocotier. On reprend le bateau pour un dernier arrêt à l’embouchure d’une rivière, pour le repas. Au menu, poisson grillé sur le bateau, salade de thon froid, riz, pain coco, fruits : un régal. Et en guise de digestif, une dernière ballade dans la jungle, où l’on s’amuse à faire chanter les mape, les chataignier tahitien aux grosses racines plates. La ballade nous amène à la grotte de Vaipoiri, une grande cavité remplie d’eau douce. Maël et Guillaume se risquent à la nage jusqu’au fond, dans l’obscurité de la grotte… frissons garantis !

    Après ça, retour au point de départ, puis à notre logement, et le lendemain retour à Punaauia!

  • San Francisco City

    San Francisco City

    Samedi 11 octobre, direction San Francisco pour une journée en ville. Au programme pour commencer, la visite de l’île d’Alcatraz, que ni Guillaume ni Chloé n’avaient faite lors de leurs voyages respectifs dans l’ouest américain. Le ferry partant à 9h20, on choisit de se mettre en route vers 7h et de s’offrir un petit dej américain en arrivant : grands cafés et viennoiseries à emporter et déguster sur un quai. Guillaume demande un café taille M, oubliant qu’on est en Amérique, et se retrouve avec un format immense !

    Puis départ en ferry pour Alcatraz. L’occasion de faire de superbes photos du Golden gate et de la ville puisque le ciel était bleu, sans nuages. Arrivés sur Alcatraz, on trouve le circuit très bien organisé : on est guidés vers le haut de l’île et le pénitencier, pour y récupérer nos audioguides. Il faut ensuite les lancer à un point donné, et déambuler dans la prison en suivant les indications. Cela étend bien les flux sachant qu’un bateau arrive toutes les 20min, plein de 100 ou 200 personnes.

    L’histoire de la prison, la première de haute-sécurité (« Super-Max ») aux USA, est bien expliquée, la façon de vivre des prisonniers, et le récit d’une évasion spectaculaire de 4 prisonniers…dont on a ensuite perdu la trace et qui pourraient tout à fait avoir terminé au fond de la baie de San francisco. La prison a fermé dans les années 1970 et est devenue un lieu occupé par les indiens d’Amérique pour protester contre la politique d’accaparation des terres indigènes par les gouvernements américains successifs. La sortie vaut le coup, pour la prison mais aussi pour la vue que le bateau offre sur la baie de SF.

    De retour sur la terre ferme, à Pier33, on se dirige vers Pier37 et ses otaries. Ce jour là il n’y en avait qu’une dizaine en train de profiter du soleil. Loin de nos souvenirs auditifs et olfactifs de dizaines d’otaries entassées, mais Maël était tout de même content. On continue notre chemin en direction du « cable car » pour attaquer les hauteurs de San Francisco : arrivés au départ, déception : du fait d’un événément en cours, la Fleet week, le cable car est fermé dans cette zone-là aujourd’hui. On montera donc en bus, jusqu’en haut de Lombard Street, la fameuse rue ultra-pentue avec ses virages en épingle. Là aussi, petite déception : sans ses parterres fleuris (on est en automne, les fleurs sont fanées) ça a moins de charme. Peu importe, direction Chinatown pour notre déjeuner !

    La fleet week est un événement annuel montrant un défilé-spectacle d’avions de chasse dans la baie, et la présence de quelques navires de l’armée également, si on a bien compris. On ne verra rien lors de notre journée à SF (le défilé a lieu quand on s’est éloignés des quais) mais on en profitera un peu le lendemain lorsque les enfants s’amusent au Bay discovery museum, en face de San francisco : spectacle d’avions de chasse type patrouille de France, avec fumigènes.

    Pour le trajet de Lombard street à Chinatown, on suit les conseils de Seb et Noémie en commandant un taxi autonome, un Waymo. Soit une voiture…sans chauffeur ! Surprenant au début de voir le volant tourner seul, mais très amusant. On renouvellera l’expérience pour aller de Chinatown à Japantown.

    Chinatown est le quartier chinois. Et aux Etats-Unis, ce n’est pas juste une expression : tout est écrit en chinois, on y retrouve des échoppes traditionnelles, des magasins de gadgets bas de gamme jusqu’à la fabrique de Fortune cookies et bien sûr des restaurant chinois dans tous les sens. Le mode de vie est aussi chinois, ainsi que les décors. Un vrai saut vers Shanghaï ! On s’offre un resto de Dim sum, le nom des divers raviolis chinois. Comme en Chine, même si le menu est en anglais et que la serveuse parle anglais, on n’est quand même pas du tout sûrs de ce qu’on a commandé, ni des quantités. On s’en sortira avec un peu trop de nourriture, mais avec les raviolis qu’on espérait manger.

    On continue notre voyage en Asie en se rendant à Japantown, pour errer dans un centre-commercial. Allée à l’allure de rue japonaise, temple japonais (hélas en rénovation) et magasins de gadget High-tech et de mochi au programme. Pas aussi typique que Chinatown mais tout de même un bon endroit pour dépenser quelques dollars et s’amuser.

    Enfin on choisit de rentrer à pied au parking, pour expérimenter les ruelles en pente, profiter de l’architecture locale (fans de Charmed, bonjour !) et pour espérer revoir des otaries (on n’en verra que 4 qui jouent dans l’eau et montrent leur tête de temps en temps). Une belle journée en ville, sous une météo parfaite avec la découverte déroutante des voitures Waymo. Sur le chemin du retour on passe en voiture par Golden gate park, immense parc pour se promener, mais aussi avec des installations sportives et un lieu de concert, avant de rejoindre Ocean beach, une grande plage de SF peuplée ce jour-là de kitesurfers (expérimentés vu le vent).

    San Francisco vu par Maël : On a vu des otaries, nous avons pris le ferry pour aller voir la prison d’Alcatraz, nous sommes revenus en bateau. Nous sommes allés manger au restaurant. On a pris des voitures qui se conduisaient toutes seules, c’était très impressionnant et on pouvait voir le trajet et voir ce que les voitures « voyaient ». Ensuite nous avons imprimé une image de la rue en zig-zag (Lombard street) sur pièce de 5 cents puis nous avons descendu Lombard street.

  • San Francisco et Mill Valley

    San Francisco et Mill Valley

    C’est parti pour San Fransisco, première étape du voyage. Maël a préparé ses dollars (reçu de son arrière-grand-père et de sa grand-mère), on peut y aller ! Notre vol s’est bien passé, Maël a bien profité de son premier grand voyage en avion et des films mis à disposition. Il en a même un peu trop profité, puisqu’il n’a pas dormi du vol, et est arrivé complètement épuisé à l’aéroport : le passage à la douane a été dur pour lui. Passé ces moments ennuyeux, nous avons récupéré notre voiture de location, et direction Mill Valley, chez Sebastien et Noémie, qui nos accueillent dans leur superbe maison pour quelques jours. L’occasion de passer une nuit courte mais correcte afin de récupérer des 9h de décalage horaire.

    Le lendemain, la journée est tranquille pour se recaler : on visite l’école des filles de Sebastien et Noémie (avec son superbe jardin potager), on joue un peu au tennis le matin, puis on emprunte les vélos pour partir à la découverte de Sausalito, à 8km de là. Le trajet est étonnamment bien aménagé pour les vélo (comme quoi, les préjugés sur les USA) : il y a une piste cyclable entre les deux villes, qui fait partie dun grand projet d’aménagement vois cyclables/piétonnes dans toute la baie de San Fransisco.

    Sausalito est une petite ville de la baie, qui offre une belle vue sur celle-ci, San Fransisco de l’autre côté, et Alcatraz au milieu. Au retour par contre, petite surprise : la piste cyclable a été inondée par une marée haute particulièrement marquée (2 mètre au dessus de son niveau habituel). D’après Seb, cela arrive tous les 3 ou 4 mois, lors de pics de marée. C’était le cas ici, même si on était pas encore sur une « King tide », la marée la plus importante de l’année. Heureusement pour nous, Noémie a repéré l’inondation et ils sont venus nous chercher, sinon on aurait eu du mal à traverser avec les vélos.

    On termine la journée par l’entrainement de soccer de Charlie (presque 9 ans), auquel Maël a pu participer : une manière de bien finir la journée, pour bien dormir la nuit.

    Le lendemain, après le début de l’école, nos faison un petit tour sur Horse Hill, la colline au dessus de la maison. La colline est le lieu de paturage d’une douzaine de chevaux, mais pas de chance pour nous, ils sont à l’étable aujourd’hui. Tant pis pour les chevaux, en échange on croise deux biches et leurs faons juste à côté de le maison. De manière générale, on aura croisé pas mal d’animaux à Mill Valley : biche, faons, cerfs, dindes sauvages (des glouglous !), écureuils gris, plein d’oiseaux et chevaux (de loin) et la tête d’une otarie dans la baie à Sausalito. Après cette petite ballade, sur les conseils de Seb, on part faire une randonnée à 10 min en voiture, Tennessee Valley Trailhead. La randonnée nous emmene jusqu’à l’océan, sur Tennessee Beach, au milieu de super paysages. Guillaume et Maël piquent une tête dans le Pacifique. Au retour de la ballade, on fait un tour à la piscine du quartier, avant la soirée burger !

    On est fin prêt pour la visite de San Francisco le samedi.

    Le séjour se terminera par une soirée jeu de société (Everdell, découverte pour nous et magnifiques graphisme !) un peu de pickelball (nouveau sport de raquette lancé aux US) et l’installation des décorations d’Halloween, qui a une toute autre dimension qu’en France.

    Un IMMENSE merci à Seb, Noémie et leurs filles pour l’accueil qui nous a fait découvrir un autre aspect de la baie de San Francisco et du mode de vie local. Ces 4 jours vont restés marquants dans notre année sababtique.

    Souvenir de Maël : A Mill Valley on a fait de la sciure de bois et on est montés dans les arbres (note : au Bay discovery museum).